Solution : un DS moins mou.mich2e a écrit:... l'idée étant que si on utilise un ds assez mou, il dégrade le rendement du cv au point parfois de rendre le décollage difficile, notamment par pétole. le pompage devient inefficace et le cv se déforme plus qu'il ne prend de hauteur.
Tu aurais des photos de ton montage pour voir si on peut l'améliorer.mich2e a écrit:...... l'utilisation d'une goupille bloquant la boucle. Selon l'endroit de la goupille ou on place la boucle on a des résultats très différents. sur la balance, la rupture intervient à environ 1.5 kg avec un montage dans l'axe ! pas mal !
la mise au point de ce fusible est assez "sensible" car la rupture avec une bride à la main, ou la rupture avec montage sur le ds ne donnent pas les memes résultats. Les premiers tests ont toutefois pu commencer.
Solution : un DS moins mou.
mich2e a écrit:la solution en tete est d'ajouter une bride qui bloque l'action du ds tant que le vent ne l'a pas fait "sauter".
mich2e a écrit:Solution : un DS moins mou.
ah ! la tu me taquines .
Tu reproches au DS de se comprimer...
On pourrait appeler cela un mandrin, un mandrin à 4 mors si y'en a 4 (pour une lame sensible), sinon plus souvent à 3 mors si l'objet qui retient toute son attention est de section circulaire. (jaw chuck, en anglais, par ex.) Cest le plus souvent en acier, cependant...mich2e a écrit:je ne sais meme pas comment cela s'appelle pour le confier à mon moteur de recherche
Je partage assez volontiers cette approche qui consisterait si on y arrive (étalonnage fiable et stable des élastiques) à avoir un élastique raide quand on imagine le décollage pas simple (vrai pétole) et que l'on veut se prémunir (en plus de la déformation du CV), d'un CV hyper-contraint par l'aide partielle d'un DS raide qui se réveille dans le coup de torchon imprévu (rare mais déjà vécu et assez stressant) et redevient raide, statique quand le vent s'est calmé, ou bien un élastique un peu plus mou quand le décollage parait assuré par le vent au sol (pas besoin de pomper) mais que l'aide du DS sera surement plus fréquente et utile, une fois la-haut, pour des variations de vent habituelles.Hygrekaile a écrit:d'où ma conviction qu'il faut augmenter la tension de ton élastique au départ pour s'en rapprocher.
ben oui y a pas d'hélice, hélas, c'est là qu'est l'os ! c'est ben pour ça qu'on lui glisse un ds dans l'dosss.Le système est de toute façon limité,
Je ne pourrais que, humblement, renvoyer ici aux nombreuses explications fournies par Dan Leigh sur son site sur la longueur optimale du spreader, et notamment l'étape 11 de ses conseils de fabrication avec le le ratio creux/distance nez-spreader. Donc le ds permettrait si on suit le raisonnement de varier ce calcul dans les limites prévues par l'Expert, voir au delà pour ceux qui veulent tenter l'aventure. On pourrait ainsi par simple calcul (!) déterminer la longueur max du ds, et la longueur mini.plutôt en partie haute de la gamme d'Eole.
mich2e a écrit:........je pensais aussi à un petit outil à lame interchangeable qui fonctionne selon ce principe: le "connecteur" qui tient la lime est une pièce à 4 parties qui d'écartent en corolle, une bague vissante permet de controler le serrage ou libérer la lime choisie. si on arrivait à trouver un modèle petit cela pourrait peut etre fonctionner. on pourrait alors l'ajuster peut etre avec plus de simplicité.
Hygrekaile a écrit:Solution : un DS moins mou.
Et si le DS était simplement trop souple pour un décollage par pétole ?
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