Le premier Auto-Kite

[becotus]

Non ce n'est pas une voiture cerf-volant mais un cerf-volant auto-piloté.

L'hélice qui dépasse sur une longue tige d'environ 1 m à l'arrière ne sert pas non plus à sa propulsion.comme l'ont cru les premiers témoins de son vol unaugural. Cette hélice a deus fonctions, elle agit comme une manche à air tourmante et en plus, elle fournit de l'électricite grâce à un mini-générateur de seulement une quarantaine de grammes fixé juste avant l'hélice. Ce poids déplace aussi le centre de gravité vers l'arrière ce qui augmente la stabilité du delta.

C'est bien d'un delta qu'il s'agit, mais poursuivons. Le mini-générateur recharge un accu qui alimente un dispositif électronique. Là est le coeur du système. Quatre capteurs sont déterminants, un altimètre, la vitesse du vent, la tension du fil, un goniomètre pour l'angle d'inclinaison du delta. Rien de difficile, ces capteurs miniaturisés sont disponibles et aussi un micro-processeur Arduino pour lequel il existe de nombreux programmes pour lire les paramètres de ces capteurs. A priori plus complexe est la vergue qui équipe ce delta dont l'inventeur mentionne simplement qu'elle est "extensible et brevetée". Il explique : L'automate calcule la longueur de vergue idéale en fonction des paramètres et fait en sorte d'obtenir l'incidence idéale pour la vitesse du vent.
Les observateurs ont effectivement remarqué deux tiges qui émergent de deux renflements assez longs à chaque bout de la vergue. Ils en ont conclu que ce sont deux vérins électriques qui pilotent la longueur de la vergue puisqu'il y a deux fils électriques qui aboutissent à l'automate. Celui-ci est une capsule oblongue située sous le mat dans la quille du delta. Une petite antenne émerge de cette capsule. L'inventeur a répondu que le dévidoir envoie par radio la longueur de fil . Les observateurs ont alors vu une autre antenne dans le manche du tambour du dévidoir.
Ajoutons que le point de bridage est une sphère d'une dizaine de centumètres, assez large pour contenir le tensiomètre.

Pressé de questions, l'inventeur, Benjamin Fisher a été évasif. Il a précisé que tous les pâramètres sont enregistrés et que leur analyse lui a permis de mettre au point les algorithmes de base selon la "French theory of kite". D'après un spécialiste;le nom de l'inventeur est un pseudo destiné à préserver actuellement son identité pour des raisons conjoncturelles.
Ces informations sont reprises de ces deux sources
https://%20Believe-it-or-not.com
Autokite in flight

[Hygrekaile]

Projet très complet et prometteur mais souvent ces sujets très innovants se terminent en queue de poisson

[becotus]

Je ne dirais pas mieux,Finalement c'est normal pour une auto cerf-volant.